La liste ultime des documentaires pour entrepreneurs

Vous êtes entrepreneurs à la recherche d’un peu de motivation ? Ou vous êtes tout simplement en quête d’un peu d’inspiration pour votre projet entrepreneurial ?

Que vous soyez dans l’un, l’autre, ou les deux cas, une solution, et en se divertissant et en s’informant s’il vous plaît, se trouve à travers le visionnage d’un documentaire lié à l’entrepreneuriat.

Vous trouverez ci-dessous une liste -ne faisons pas preuve de fausse modestie- ULTIME de documentaires portant sur la vie d’entrepreneurs·euses et sur le business.

Ultime parce qu’elle se veut large, complète et exhaustive. En ce sens, n’hésitez pas à me signaler coquille ou/et erreur en commentaire.

Les sujets abordés au sein de cette liste sont variés : sport (Tiger), technologie (Steve Jobs, Return To Space), cuisine (Jiro Dreams of Sushi, Somm) ou touchant encore les questions de genre (She+++).

Et cette sélection, comme vous pourrez le constater, remonte au début de ce siècle jusqu’à nos jours (2020-2022).

Ces documentaires retracent le parcours d’entrepreneurs, d’autres, plus insolites, s’attardent sur certains aspects qui entourent la vie d’un entrepreneur.

Comme par exemple, le côté fanatique du patron de restaurant de Sushi Jiro Ono.

Si vous cherchez la vérité cachée sur l’entrepreneuriat, c’est un vaste projet que je ne saurais garantir. En revanche, observer la diversité des parcours mais aussi les épreuves et la façon qu’ont les entrepreneurs d’y réagir est une jolie première étape.

Vous trouverez pour les documentaires, en annexe, ma critique tout à la fois cinématographique que l’enseignement à en retenir.

En lieu et place d’un classement, cela me semble compliqué passé un certain nombre, j’indiquerai donc un avis ainsi que celui du public l’ayant visionné (Rotten Tomatoes). Voilà.

L’ordre est par date de sortie. Et dans le scénario de plusieurs films sur la même année, l’ordre sera alors alphabétique.

Bon visionnage !

Si vous êtes plutôt film pour entrepreneurs, cet article : “La liste ultime des films pour entrepreneurs


Affiche du documentaire Return to space (2022)

Return to space (2022)

Sujet : Le documentaire américain Return To Space, fait et distribué via Netflix, retrace l’histoire de deux décennies de travail d’Elon Musk et des ingénieurs de SpaceX pour renvoyer des astronautes de la NASA à la station internationale de l’espace et révolutionner les voyages spatiaux.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 80%

Date de sortie : 2022

Durée : 2h08

Critique : Un regard presque intime sur l’aventure d’Elon Musk et sur ses équipes tant le focus présent est intense. Il n’en fallait pas moins quand l’ambition paraît aussi démesurée quand le projet porte d’aller coloniser mars ou de retourner sur la lune.

Dans Return To Space, on y apprend que l’échec est parfaitement intégré au sein de l’ambitieux programme. Même si l’échec dans ce genre d’aventures n’est pas anodin.

Le documentaire s’attache ainsi à nous montrer toute la palette d’émotions à l’œuvre parmi les protagonistes de l’aventure dans cet inspirant tableau qu’est la conquête spatiale : de la déception la plus profonde à la joie la plus explosive en passant par la peur causée par l’ombre de l’accident mortel.

Le plus fort enseignement entrepreneurial : voir l’échec comme un professeur. Et pas n’importe lequel des professeurs : le meilleur.

Bien entendu, ce professeur en or a son prix : plus la valeur de la leçon est importante, plus forte sera la douleur. À méditer en cas d’échec.


Affiche du documentaire Running With The Devil (2022)

Running with the Devil : The Wild World of John McAfee (2022)

Sujet : Le documentaire américain Running with the Devil: The Wild World of John McAfee (ou McAfee: Des virus aux démons pour le titre en français) retrace la vie et la mort du pionnier en software John McAfee, développeur du célèbre logiciel informatique : McAfee Antivirus.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 33%

Date de sortie : 2022

Durée : 1h45

Critique : À l’heure où sont écrites ces lignes, nous avons là probablement l’entrepreneur le plus taré de notre classement.

Petite parenthèse au passage : je n’ai pas compris l’édulcoration dans la traduction française du titre. Après visionnage, le titre américain “courir avec le diable : le monde sauvage de John McAfee” me semble à peine exagéré. Peut-être un peu sensationnaliste (en même temps c’est un titre) mais non volé.

Passons.

Sur la partie réalisation, pas grand-chose à redire. Ou si un point. Le côté embarqué, surtout avec un tel paria que John McAfee, n’est pas inintéressant cependant on sent que le réalisateur a, par conséquent, énormément de mal à prendre du recul avec son sujet. En conséquence de quoi : beaucoup de questions ne sont pas posées, ou ont fait l’objet de relances.

Et il y en avait : “Comment a t’il monté sa boîte ?”, “qu’est-ce que cela lui fait de ne plus s’occuper de sa société ?”, “Ce qu’il retient de son parcours en tant qu’entrepreneur ?”, etc. Bien entendu ce n’est pas le sujet mais aussi quelques petites relances sur le meurtre de son voisin dont il est accusé. Précisons que l’homme est alcoolique, consommateur de certaines substances, paranoïaque et ne se balade jamais sans une arme à feu (après je peux entendre que l’on n’ait pas envie de poser une question ou relancer ce type d’individu).

Résultat : un focus assez important sur les déboires en fin de carrière de l’iconoclaste entrepreneur.

Passez ces considérations journalistiques, reconnaissons aux auteurs du documentaire cette idée géniale : suivre au plus près la vie d’un entrepreneur fugitif. Maintenant grisée par le scoop, la partie documentaire en a souffert.

À la fin du point de vue entrepreneurial, c’est assez pauvre. On apprend tout juste que derrière certains de ses projets, l’envie de rendre les choses meilleures a été force motrice.

Et, à titre personnel, cette réflexion à propos du Personal Branding. Oui, il est important et au développement d’une société mais on le voit, la responsabilité est énorme pour le fondateur. Ici, bien que John McAfee ait lâché la direction de sa boîte et vendu toutes ses parts, du préjudice en termes d’image pour l’entreprise de software. Bien que le fondateur n’ait plus aucun lien, nul doute qu’elle se serait passé des frasques de son inventeur. À méditer au moment de choisir un nom pour sa société.


Affiche du documentaire Tiger (2021)

Tiger (2021)

Sujet : Tiger est un documentaire, diffusé sur HBO, en deux parties offrant un regard sur la montée, la chute et l’épique retour de l’icône mondial Tiger Woods.

La série dresse un portrait intime du prodige dont le dévouement et l’obsession pour le golf ne l’ont pas seulement emmené aux portes du succès mais l’ont aussi entraîné dans une sombre spirale; ceci avant de faire un retour victorieux aux masters de 2019.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 86%

Date de sortie : 2021

Durée : 1ère partie : 1h29. 2ème partie : 1h42

Critique : À l’instar du personnage, une certaine timidité vient au moment de s’exprimer à l’issue du visionnage de l’ensemble du documentaire.

Commençons tout de suite par les aspects négatifs que j’ai trouvé à ce documentaire : aucune précision sur le type d’entraînement que suit le célèbre golfeur. Suit-il un régime particulier ? Combien d’heures hebdomadaires consacre-t-il à s’entraîner ? S’entraîne-t-il tout seul (la question se pose avec d’autant plus de forces depuis la mort de son père qui l’accompagnait à ses entraînements et compétitions). Au vu du parcours exceptionnel du champion, de mon point de vue, ses questions méritaient une réponse.

On l’aura compris le documentaire ne s’intéresse qu’à la partie visible du personnage : ses victoires, ses frasques, ses quelques rapports avec ses proches et bien entendu sa célèbre arrestation pour consommation de médicaments au volant.

On bénéficiera tout de même d’une analyse psychologique de quelques-uns de ses proches sur certains moments clés de sa vie.

Mis à part ce point, le reste du documentaire reste correct. Si on ne connaît pas le personnage, Tiger reste une bonne porte d’entrée.

Pour la partie entrepreneuriale, au vu de l’apport à la carrière de Tiger par son père, il ne saurait être trop conseillé de prendre un mentor.

De plus, cela est entendu : de l’importance de pouvoir bénéficier d’un équilibre de vie sain. Se dépasser en laissant un chaos s’installer et s’amplifier, sur le moyen et le long terme, cela n’est juste pas possible.


Affiche du documentaire WeWork (2021)

WeWork

Sujet : WeWork: or The Making and Breaking of a $47 Billion Unicorn est un documentaire qui explore la montée et la chute d’une des plus grosses compagnies et bulles de capital-risque de ces dernières années : l’histoire de WeWork et de son leader hippie messianique Adam Neumann.

S’appuyant sur les interviews auprès de journalistes, d’experts, d’anciens hauts employés bien placés, et d’anciens utilisateurs de l’espace de coworking, le documentaire WeWork: or The Making and Breaking of a $47 Billion Unicorn nous livre un regard sur l’idéal de la communauté, composé des premiers arrivés, qui propulsa la petite aventure de l’espace de co-working dans le territoire de l’investissement des licornes, et aussi sur ce qui se passe réellement en coulisses.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 67%

Date de sortie : 2021

Durée : 1h44

Critique : Heureusement ou malheureusement, on sait que lorsque l’on visionne WeWork: or The Making and Breaking of a $47 Billion Unicorn que l’on a affaire à une histoire vraie.

Le documentaire s’efforce de traiter le sujet avec sérieux et de ne pas en faire trop mais tant l’ensemble est lunaire, le fondateur, la valorisation folle et surtout la folie qui a entouré la montée de WeWork que l’on peine à se demander si l’on n’a pas affaire à un show caricatural d’une startup. Et bien non.

Je vais faire une critique sur lequel j’assume la contradiction : oui, le fondateur méritait bien un focus tant il ne finit pas de fasciner, tant un autre focus me paraissait nécessaire sur la communauté et les investisseurs, tous deux aveugles, sur la direction que leur a fait prendre Adam Neumann. Ou alors d’y apporter un éclairage psychologique pour répondre à la seule question qui résume le documentaire : qui était le plus fou ? Le mystique cofondateur de WeWork ou tous les gens qui l’ont suivi ?


Affiche du documentaire Inside Pixar (2020)

Inside Pixar

Sujet : La série documentaire d’histoires personnelles et cinématographiques Inside Pixar (Les coulisses de Pixar en français) nous fournit un regard sur les employés, le talent artistique et la culture au sein des studios d’animation Pixar.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) :

Date de sortie : 2020

Durée : environ dix minutes par épisode.

Critique : Cette série de portraits courts offre quelque chose de très frais. L’inconvénient est que ce type de séquence ultra-courte montre ses limites si l’on ressent le besoin de profondeur. Chaque interview dure environ 10 minutes. L’interview y présente son activité et son parcours dans ce laps de temps. Ainsi : pas de relance, pas d’anecdotes, pas d’exemples à donner. Pour la profondeur, on passera.

Cependant, malgré cette brièveté, on saisit le côté “fourmilière” de Pixar : ce lieu où se côtoie une diversité incroyable de métiers car on parle -liste non exhaustive- d’écrivain, de superviseur de scénario, de directeur des services de création et de la production internationale, de directeur de l’art des personnages, d’assistant de production et même de chef pâtissier…

Par conséquent, après divers épisodes, le spectateur comprend l’immense travail et la somme de compétences nécessaires derrière chaque production de Pixar, mais (oui à nouveau un “mais”) il manque, selon moi, un fil directeur. Car c’est un peu comme une présentation de chaque ingrédient d’un gâteau mais sans voir le travail du début à la fin du pâtissier. Un brin frustrant.

Pour résumer, et de mon avis très personnel, la série documentaire Les coulisses de Pixar n’est pas un regard lambda ou celui d’un journaliste mais celui de Pixar sur lui-même ou celui qu’il voudrait que l’on porte sur lui : un endroit où il fait bon de travailler soucieux du bien-être de ses employés, de la planète et surtout de ses animations.

Côté entrepreneuriat : pas grand-chose, si c’est n’est la question du management. Si les employés paraissent aussi motivés, c’est qu’au-delà des conditions de travail qui y paraissent excellentes, les dirigeants ont su donner une vision et des valeurs à laquelle tous les salariés de Pixar ont eu plaisir à partager.


The Inventor : Out for Blood in Silicon Valley (2019)

The Inventor : Out for Blood in Silicon Valley (2019)

Sujet : Produit par HBO, le documentaire The Inventor : Out for Blood in Silicon Valley, est l’histoire de l’ancienne société Theranos, une entreprise de Healthtech, de sa fondatrice Elizabeth Holmes et de la gigantesque fraude dont s’est rendue coupable la plus jeune autodidacte multimillionnaire de la Silicon Valley.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 75%

Date de sortie : 2019

Durée : 1h57.

Critique : Documentaire un peu long (je me suis endormi à plusieurs reprises 😅) mais sympa à regarder.

La réalisation s’efforce de faire un tour complet de l’entrepreneur, de l’environnement aussi bien économique que psychologique, et c’est plutôt réussi.

À la rigueur, j’aurais tendance à vous dire que le documentaire était peut-être un peu trop sage mais un brin d’impertinence est à souligner au moment du générique de fin.

Mais peut-être qu’il est délicat de dresser un portrait en folie avec une telle personnalité que représente Elizabeth Holmes.


Elon Musk : The Real Life Iron Man (2018)

Elon Musk : The Real Life Iron Man (2018)

Sujet : Le documentaire Elon Musk : The Real Life Iron Man nous fait découvrir l’homme qui a transformé la façon dont nous voyons la technologie à travers la voiture électrique, le projet Hyperloop, la découverte de l’espace, l’intelligence artificielle et la colonisation de Mars.

Note IMDb : 6,3/10

Durée : 1h14

Date de sortie : 2018

Critique : Pour la partie positive : ce documentaire sur le CEO de Tesla et de SpaceX est complet, pertinent à de nombreux égards, notamment quand il évoque et fait le lien entre la vision du entrepreneuriale du business man et sa façon de gérer sa vie personnelle.

Pour la partie négative, ce documentaire m’est apparu un peu trop dithyrambique.

Au vu du nombre d’entreprises qu’il a dirigé et qu’il dirige, il aurait été normalement possible de trouver des employés peu à l’aise avec la façon de manager de l’iconoclaste milliardaire.

Certes quelques échecs sont évoqués mais aucun développement sur la face sombre - nous avons tous une - d’un des hommes les plus riches de la planète.


Affiche du documentaire Becoming Warren Buffet (2017)

Becoming Warren Buffett

Sujet : Le documentaire Becoming Warren Buffett couvre la vie et la carrière de Warren Buffet. Personnage considéré comme l’un des plus performants et influenceurs investisseurs du siècle dernier.

Buffet est longuement interviewé sur son éducation, ses premières facilités avec les mathématiques et son intérêt pour les questions de l’investissement, mais aussi son temps, plus jeune alors, passé à étudier auprès de Benhamin Graham les principes de la valeur de l’investissement.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 84%

Durée :

Date de sortie : 2017

Critique : Pas encore vu.


Affiche du documentaire American Experience : Walt Disney (2015)

American Experience : Walt Disney

Sujet : Le documentaire Walt Disney est un regard sur sa carrière, de ses premiers films à Disyneyland ainsi que ses idées à l’intention de sa communauté non réalisées avant sa mort.

Un documentaire aussi long que large sur ses motivations et valeurs.

Rotin Tomatoes (score moyen du public) : 🕸

Note IMDb : 8,1/10

Durée : 3h41

Date de sortie : 2015

Critique : 3h41, au début, on se dit long et finalement pas vu le temps passer 😅.

Il faut dire que la carrière de l’homme, quoi que l’on pense du personnage, est assez vertigineuse : fonder un empire prend du temps. Et du temps, le documentaire en prend pour nous donner une vue plutôt intéressante du personnage.

Les enjeux de nombreux films dont Disney est le papa sont passés au crible. Un grand nombre de protagonistes sont interviewés afin de comprendre à la fois l’environnement de Walt Disney mais aussi son état d’esprit à chaque étape.

Mon regret : le passage consacré à ses débuts n’aurait pas souffert d’un développement plus important. Pour avoir visionné Walt Before Micket, le démarrage de la carrière de l’homme fut loin d’être évident.

Pour le reste, du point de vue entrepreneurial, on peut noter ce pattern cher aux grands entrepreneurs : l’obstination et la vision. Et à la différence de beaucoup d’autres, Walt Disney avait une vue à 360° sur son business : pour lui, il ne fallait pas que son produit premier (les films d’animation) aille au spectateur. Non, il fallait que ce dernier le cerne à travers les franchises et un univers bien réel comme Disneyland.

Pour la critique sur le film lié au même sujet : Walt before Mickey (2015)


Affiche du documentaire Steve Jobs (2015)

Steve Jobs : The man in the machine

Sujet : Le cinéaste Alex Gibney, à travers Steve Jobs : The man in the machine, examine la vie et l’héritage du cofondateur d’Apple, un homme d’une énergie personnelle intense dont la mort cause un chagrin sans précédent à travers le globe.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 57%

Date de sortie : 2015

Durée :

Critique : Pas encore vu.


Affiche du documentaire Print the legend (2014)

Sujet : Le film documentaire Print the Legend, une production Netflix, est centré sur la révolution de l’impression 3D.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 81%

Date de sortie : 2014

Durée : 1h39

Critique : Alors ce documentaire est à ranger au rayon des singularités : à ce jour, c’est un des rares de notre sélection à s’attarder autant sur les divergences entre cofondateur.

Print the Legend aborde, et c’est la bienvenue, quelques faces sombres de l’entrepreneuriat :

  • La divergence de vue entre associés. C’est peu dit mais souvent la raison de coup d’arrêt à des startups.

  • Plus rare, le problème de licences. Rare mais cela peut arriver selon les secteurs.

  • Une culture d’entreprise trop faible face à la croissance de l’entreprise. Toute croissance est évidemment la bienvenue mais la question peut se poser quand les fondations idéologiques dans l’entreprise sont faibles. Le débat est lancé.

Donc finalement, Print the Legend s’avère une bonne surprise. C’est vrai qu’à la manière dont démarrait le documentaire, l’on pouvait s’attendre à l’énième réussite d’entreprise où tout va bien. Ceci avec les mots-clés qui vont bien : disruption, révolution, agilité, etc. Et bien non.

La réalité revient très vite.

Les problèmes d’égo, de manque de confiance en soi aussi, l’insatisfaction client, sont, par exemple, quelques sujets abordés aussi. Donc, oui, tout n’est pas rose dans l’entrepreneuriat. Mais pour les startups qui, de loin, paraissent bien se porter.


Pour revenir au début de cette liste ultime des documentaires pour entrepreneurs.


Affiche du documentaire We Pop Up (2014)

We Pop Up : The documentary

Sujet : Le documentaire We Pop Up est un documentaire sur 6 jeunes créatifs qui ont fait d’un rêve commun une réalité.

Leurs histoires sont racontées séparément mais sont interconnectées d’inattendues façons.

Lien pour visionner le documentaire : https://vimeo.com/111587187

Date de sortie : 2014

Durée : 18 minutes

Critique : Alors c’est très court (18 minutes) 😅.

Bon, déjà c’est frais. Très frais. Voir des jeunes transformer un concept un peu étrange en une réalité. La diversité des portraits n’est pas désagréable : cela permet de faire plus aisément le tour du sujet à travers différentes sensibilités.

Note : vu que l’on approche des 10 ans, il serait intéressant, de mon point de vue, de faire un reportage anniversaire. Pour voir ce que l’agence est devenue et, surtout, accueillir les enseignements tirés de cette incroyable expérience professionnelle.


Affiche du documentaire Burt's Buzz (2013)

Burt's Buzz

Sujet : Plongez dans l’incroyable double vie de Burt Shavitz, un apiculteur reclus qui devient, à contrecœur, l’une des marques les plus reconnaissables au monde.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 49%

Date de sortie : 2013

Durée : 1h28

Critique : J’ai eu du mal à définir ce qui était lunaire : le personnage ou le documentaire. Après réflexion, il m’est apparu que c’était clairement le personnage.

Cette interrogation vient probablement du fait, et c’est un reproche que je fais là, à l’absence d’introduction en début de documentaire : si vous ne connaissez pas Burt Shavitz (ce qui était mon cas), vous n’en savez pas plus quasiment jusqu’à la fin.

Bien entendu, on en apprend sur le personnage mais sur le pourquoi de sa célébrité, son parcours en tant qu’entrepreneur, que nenni. Ainsi pour la partie entrepreneuriale, par exemple, il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent.

Par conséquent, le documentaire est sauvé par le personnage. Aussi étrange que sympathique, il ne laisse pas indifférent. La distorsion est assez totale entre ce que l’on peut attendre d’un entrepreneur et Burt Shavitz. Comme le personnage n’en finit pas de détonner, au final, on ne s’ennuie pas (trop) durant le visionnage.

En revanche, d’un point de vue état d’esprit à adopter, aussi bien sur la partie personnelle que professionnelle, je noterais pour moi-même ce message qui, étant la philosophie de vie de Burt, est aussi une réponse aux nombreuses questions que l’on peut se poser vis-à-vis de la singularité et de la simplicité du personnage : l’important est de faire la distinction entre ce que l’on veut et ce dont l’on a besoin…


Affiche du documentaire Downloaded (2013)

Downloaded

Sujet : Downloaded est un film documentaire examinant la génération téléchargement à travers un zoom sur les créateurs de ce mouvement, une bande de jeunes. Ces derniers, inventeurs du célèbre Napster, sont à l’origine d’une révolution planétaire dont l’impact est encore visible de nos jours.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 66%

Date de sortie : 2013

Durée : 1h46

Critique : Avec le documentaire sur Macfee, c’est le deuxième film documentaire qui me tient en haleine pendant toute la durée. Car contrairement à ce dernier, ni besoin d’armes, ni de rumeurs de planques compromises, la réalisation a pris de soin d’insuffler un rythme soutenu tout le long.

Le documentaire enchaîne les images d’archives avec les ressentis des protagonistes après les évènements et bien que l’ensemble soit parfois confus, ça marche.

L’interview, tour à tour, des artistes est bien trouvé. Le documentaire s’efforce ainsi d’être équilibré dans son approche du sujet, ô combien épineux, du téléchargement légal ou pas.

Sur la partie entrepreneuriale : on retrouve, et c’est assez classique, la rébellion et le refus conformisme, ingrédients indispensables à tout entrepreneur.

À voir donc.


Affiche du documentaire She ++ (2013)

She ++

Sujet : She++, une communauté de Stanford pour les femmes dans la tech, a sorti un documentaire de 12 minutes présentant des étudiants de Stanford, des professeurs mais aussi d’anciens élèves discutant du sujet du genre dans les domaines techniques.

Dans ce documentaire, des dirigeants très en vue de la Sillicon Valley, comme un directeur de l’ingénierie à la société Box, Tracy Chou, ingénieur logiciel à Pinterest, Jocelyn Goldfein, directeur de l’ingénierie à Facebook, Sandy Jen, CTO (Chief Technical Officer) et cofondateur de Meebo; et Roelof Botha, associé à Sequoia Capital partagent leurs expériences sur les questions de genre dans la salle de classe et sur le lieu de travail.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 🕸

Lien pour regarder le documentaire : https://vimeo.com/63877454

Date de sortie : 2013

Durée :

Critique : Pas encore vu.


Affiche du documentaire The Director (2013)

The Director

Sujet : Produit par la société Rabbit Bandini de James Franco, le documentaire The Director analyse le travail de la créatrice de mode italienne, Frida Giannini, directrice de création pour Gucci, et se penche sur sa décision de revenir au passé de la célèbre marque pour réimaginer sa voie vers l’avenir.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 21%

Lien pour regarder le documentaire :

Date de sortie : 2013

Durée : 1 heure 25 minutes

Critique : Pas encore vu.


Affiche du documentaire Steve Jobs : One last thing (2013)

Steve Jobs : One last thing

Sujet : One last thing (ou une dernière chose en français) est un documentaire ne montrant pas seulement son talent, son style et son imagination qui ont façonné nos vies, mais aussi les influences qui ont façonné et moulé l’homme.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 🕸

Date de sortie : 2013

Durée :

Critique : Si vous souhaitez rester sur un une image positive de Steve Jobs, passez votre chemin. Avec Steve Jobs : One Last Thing nous avons un documentaire sans détour sur le personnage, les pratiques de la société Apple. Le positif, comme le négatif sont abordés.

Le réalisateur nous emmène de manière assez étrange, perturbante et même fascinante, tel les effets des phares d’une voiture sur un lapin : on commence aux “obsèques mondiales” de l’illustre personnage, pour enchaîner dans une plongée progressive dans le côté obscur de Jobs et sa compagnie Apple.

Les éléments y sont présentés de manières factuelles, brutes presque sauvages. Nulle “hypothèse” sortie de la tête du réalisateur : tout est composé d’interviews de protagonistes clés et d’éléments rapportés dans la presse.

A-t’on juste droit, ici et là à quelques réflexions presque d’ordre psychologique ou philosophique, chacun choisira, du réalisateur.

Même en 2022, le documentaire ne prend pas une ride tant l’impact d’Apple, que l’on soit fan ou pas, est encore fort dans nos vies (et le sera pour au moins la prochaine décennie).


Affiche du documentaire The Startup Kids (2013)

The startup kids

Sujet : Le documentaire The Startup Kids est un documentaire portant sur des jeunes entrepreneurs évoluant dans la tech aux États-Unis et en Europe. Il contient des interviews des fondateurs de Vimeo, Dropbox, Soundcloud, et plus encore. Ces derniers évoquent le démarrage de leurs compagnies et de leur quotidien en tant qu’entrepreneur.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 52%

Date de sortie : 2013

Durée : 56 minutes

Critique : Avec The Startup Kids nous ne sommes pas loin du documentaire de société que l’on pourrait voir sur une chaîne mainstream.

Voilà pour le format.

Pour le reste : documentaire plutôt sympa à regarder.

Les profils des entrepreneurs, sont des dirigeants de start-up, sont variés. Parité et mixité sont au rendez-vous, et les témoignages donnent, parfois, une bonne dose de motivation pour celui ou celle qui est en recherche.


Affiche du documentaire Indie Game (2012)

Indie Game

Sujet : Un documentaire qui suit le parcours de développeurs indiens au moment où ils créent des jeux et lancent leurs créations, ainsi qu’eux-mêmes, au monde.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 91%

Date de sortie : 2012

Durée : 1h42

Critique : Alors j’ai ressenti plus émotions à peine contradictoires au visionnage de ce film 😂.

D’abord, je me suis un peu fait ch##. Mais ce n’est pas tant dû à la réalisation qu’au sujet : voir des types jouer à console : ouais bof chez moi.

Ensuite, en écoutant un peu plus les parcours, je me suis retrouvé à certains endroits. Une vraie révolution que connaître l’entrepreneuriat au sein de l’univers des jeux vidéos. Je ne veux en dire trop de peur de spoiler. Juste que c’est un regard entrepreneurial très intéressant. Que l’on soit fan ou pas des jeux vidéos.


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Affiche du documentaire Somm (2012)

Somm

Sujet : Somm est un documentaire américain qui suit les tentatives de 4 candidats essayant de réussir le très difficile concours de Maître sommelier, un examen dont le taux de réussite est l’un des plus bas au monde.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 82%

Date de sortie : 2012

Durée : 94 minutes

Critique : Un des rares films de notre sélection à nous en apprendre autant sur le secteur abordé que sur les protagonistes. Si vous n’apprenez rien sur le vin après avoir visionné ce documentaire : c’est simple : vous ne l’avez juste pas regardé 😅 (et vous devriez).

Comme je suis très fan de ce qui tourne autour du vin, je préviens, je manquerais d’objectivité.

Alors Somm est un documentaire aussi sympathique qu’intéressant (pour ma part, j’avoue que j’ignorais tout des coulisses du métier de sommelier).

Il est captivant de voir 4 profils différents mais autant unis par cette ambition commune que de décrocher le titre ô combien envié de maître sommelier.

Alors je préviens d’avance : bien entendu, je ne vous dirais pas qui seront les gagnants à la fin mais juste d’ajouter que les vainqueurs sont plutôt inattendus.

D’un point de vue entrepreneurial : on retrouve désormais le classique mais indispensable combo discipline-focus-obsession. Et on pourrait même ajouter sacrifice.


Jiro Dreams Of Sushi (2011)

Jiro Dreams of Sushi

Sujet : Jiro Dreams of Sushi est l’histoire d’un grand malade pardon d’un chef cuisinier qui a pour obsession la cuisson du riz et les sushis.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 91%

Date de sortie : 2011

Durée : 1h21

Critique : oui, avec un titre comme Jiro Dreams of Sushi, cela ne donne pas très envie mais je vous invite vivement à le voir. Au moins une fois 😂. Il montre l’acharnement d’un homme dans l’excellence.

Jiro démontre que la qualité à un prix. Et que pour tout entrepreneur qui souhaite réussir dans son activité, la perfection doit être une quête de tous les instants.


Affiche du documentaire Something ventured (2011)

Something ventured

Sujet : Something Ventured suit l’histoire d’un fonds d’investissement (VC) qui a travaillé avec des entrepreneurs afin de lancer et développer des entreprises comme Apple, Intel, Apple, Atari ou encore Cisco.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 67%

Date de sortie : 2011

Durée : 1h24

Critique : Avis très mitigé. D’un côté on trouve des informations très intéressantes. Par exemple, comment peut penser un fonds d’investissement, quelques anecdotes croustillantes dans la création de certaines grandes sociétés (Cisco, Apple).

De l’autre, nous sommes sur une réalisation un peu poussiéreuse (très Powerpoint) et des intervenants, forcément, qui se ressemblent beaucoup. Pour celui ou celle qui cherche un peu de diversité, il faudra repasser.


Affiche du documentaire Candyman

Candyman : The David Klein Story

Sujet : Candy Man est l’histoire de l’ascension et de la chute de David Klein, l’homme qui inventa les bonbons à la gelée Jelly Beans.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 52%

Date de sortie : 2010

Durée : 1h16

Critique : Documentaire plutôt sympa et bien fait. Pas grand chose à redire. Comme beaucoup d’histoires d’entrepreneurs, celle ne déroge pas à la règle : elle est juste incroyable😱.

À voir au moins une fois. Pour la postérité.


Pour revenir au début de cette liste ultime des documentaires pour entrepreneurs.


Affiche du documentaire Freakonomics (2010)

Freakonomics

Sujet : Freakonomics est un documentaire basé sur le livre éponyme Freakonomics: A Rogue Economist Explores the Hidden Side of Everything écrit par les économistes Steven D. Levitt et l’écrivain Stephen J. Dubner.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 51%

Date de sortie : 2010

Durée :

Critique : Pas encore vu.


Affiche du documentaire Joan Rivers : A Piece of Work (2010)

Joan Rivers : A Piece of Work

Sujet : Ce documentaire suit la vie et la carrière de Joan Rivers, une comédienne vétéran plus connue pour ses opérations de chirurgie plastique que pour son talent.

Le film explore ses premières années au sein de l’industrie cinématographique et touche à sa longue relation professionnelle avec Johnny Carson qui est une des célébrités présentes, mais aussi George Carlin, Phylis Diller, Kathy Griffin et la propre fille de Joan Rivers, ceci sans oublier sa fréquente partenaire d’écran, Melissa Rivers.

Rotten Tomatoes : 82%

Date de sortie : 2010

Durée : 1h24

Critique : Encore un documentaire aussi particulier que son protagoniste principal.

Plus qu’un documentaire sur l’entrepreneuriat, il s’agit davantage, selon moi, d’un zoom sur l’univers du show-business, et focalisé sur le secteur de la comédie.

Cependant, le film veut davantage jouer sur l’introspection.

Par conséquent, le spectateur est davantage amené à aimer (ou détester Joan) que finalement apprendre grand chose sur l’entrepreneuriat ou même sur l’univers du divertissement américain.

Je noterais pour ma part un point intéressant, déjà observé dans de nombreux documentaires listés ici : la détermination absolue et la croyance sans faille de l’artiste en son destin. Ou du fait de se sentir porté par une mission.

C’est peut-être là le levier de ce documentaire : quel que soit l’attrait que l’on peut avoir pour le personnage Joan Rivers, son humour ou encore sa sensibilité, force est de reconnaître sa force de volonté. À méditer.


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Beer Wars

Sujet : Beer Wars est un documentaire sur l’industrie de la bière. En particulier, il couvre les clivages entre les grosses brasseries comme Anheuser-Busch, Coors Brewing Company opposées aux plus petites comme Dogfish Head Brewery.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 70%

Date de sortie : 2009

Durée : 1h29

Critique : Un des rares documentaires où l’on voit une consommation du produit par le client mais aussi l’entrepreneur en pleine action : c’est-à-dire au sein de séquences liées à la production mais aussi à la prospection et à la vente.

Ainsi un documentaire riche et narré par une pétillante autrice. L’angle abordé, celui du clivage entre gros et petits est très intéressant.

D’un point de vue entrepreneurial, il rappelle comment monter sa boîte est ô combien difficile et que tout support est le bienvenu et, d’un point de vue marketing, de l’importance de segmenter et de se différencier.


Affiche du documentaire Enron : Les gars les plus intelligents dans la salle (2005)

Enron : Les gars les plus intelligents dans la salle

Sujet : Enron: The Smartest Guys in the Room est un documentaire basé sur le best-seller du même nom écrit par les reporters Bethanu McLean et Peter Elkind.

Ce documentaire examine l’effondrement en 2001de la société Enron Corporation, qui engendra un procès pénal pour plusieurs dirigeants de la compagnie suite à l’affaire aujourd’hui nommée le scandale Enron.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 87%

Date de sortie : 2005

Durée : 1h48

Critique : Comme il s’agit d’une histoire vieille de 20 ans, on ressent comme une forme d’irréalisme au visionnage. Le grain de l’image, le look des protagonistes, quasiment tout donne cette impression que l’on parle d’une autre époque.

Mais, accessoirement, non. Le scandale moins vieux, et surtout plus proche géographiquement, comme celui de la société générale via l’affaire Kerviel rappelle que le sujet touche tous les pays.

Enron: The Smartest Guys in the Room est la critique forte non pas d’une entreprise mais d’un système (politique, banque, avocats) où un subtil mélange de corruption, de dilution de responsabilité et d’appât du gain a spolié des milliers de gens.

Côté entrepreneurial, c’est intéressant pour savoir tout ce qui n’est pas à faire dans une entreprise.


Affiche du documentaire Wal-Mart: The High Cost of Low Price (2005)

Wal-Mart: The High Cost of Low Price

Sujet : Wal-Mart: The High Cost of Low Price est un documentaire dressant un tableau sombre du géant américain de la grande distribution. Robert Greenwald, le réalisateur, sans concession pointe les effets néfastes du business mené par la controversée chaîne de distribution.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 65%

Lien pour visionner le documentaire : Walmart : The High Cost of Low Price • Brave New Films (Youtube)

Date de sortie : 2005

Durée : 1h40

Critique : Le documentaire se veut brut, factuel. Aux interviews des employés, ou autres protagonistes ayant eu affaire de près ou de loin à la marque américaine, s’enchaînent coupures de presse. Ici, le narrateur est mis de côté.

À ce focus XXL, pourtant, un point me gêne : certes les interventions du CEO sont présentes pour tenter de justifier ce qui paraît injustifiable mais j’ai trouvé que le contradictoire était terriblement absent.

Du moins le réalisateur aurait-il pu indiquer la tentative d’interviewer, Lee Scott, le CEO à l’époque du tournage mais il n’en sera point question. Par conséquent, à tort ou raison, le spectateur est condamné à condamner.

Cependant le documentaire reste intéressant à regarder. Dans la même tonalité que Enron: The Smartest Guys in the Room, on ressent encore plus fortement les conséquences délétères quand une société tentaculaire dérive en faveur du profit au détriment du reste.


Affiche du documentaire Startup.com (2001)

Startup.com

Sujet : Reprenant là où les gros titres se sont arrêtés, Startup.com examine les problèmes liés à l’état de la révolution internet, où la folie des grandeurs et les rêves de richesse rapide ont été supplantés par la dure réalité économique et les promesses brisées.

Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 73%

Date de sortie : 2001

Durée :

Critique : Pas encore vu.


Pour aller plus loin


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