9 sources de financement pour une entreprise

Vous démarrez un projet et vous avez besoin d’un coup de pouce financier ? Ou encore, vous êtes déjà sur une activité entrepreneuriale, seulement vous auriez besoin de financement afin de pouvoir vous développer ?

Dans cet article, vous découvrirez un ensemble de moyens pour accéder aux ressources financières dont votre entreprise a besoin.

Note : article complémentaire à celui-ci : “C'est quoi une levée de fonds ?

Sommaire


L'autofinancement

L'autofinancement, ce que l’on appelle aussi le bootstrapping, ou également connu sous le terme de source financement interne, est le mécanisme par lequel une entreprise se finance en utilisant ses propres ressources générées par son activité.

Contrairement à l'emprunt ou à l'obtention de capitaux auprès de tiers, l'autofinancement permet à une entreprise de financer ses projets et de répondre à ses besoins financiers sans recourir à des sources externes.

L'autofinancement repose sur les bénéfices réalisés par l'entreprise. Plutôt que de distribuer l'intégralité des bénéfices aux actionnaires ou aux propriétaires, une partie est réinvestie dans l'entreprise. Ces fonds réinvestis peuvent être utilisés pour le développement de nouvelles activités, l'acquisition de nouveaux équipements, l'expansion de l'entreprise ou le remboursement de dettes existantes.

L'autofinancement offre plusieurs avantages. Tout d'abord, il permet à l'entreprise de garder le contrôle total de ses opérations et de son financement, sans dépendre d'entités externes. Cela signifie que l'entreprise n'a pas à payer d'intérêts sur des emprunts ou à partager ses bénéfices avec des investisseurs externes.

De plus, l'autofinancement renforce la viabilité financière de l'entreprise, lui permettant de faire face aux aléas économiques et de garantir sa stabilité à long terme.

La capacité d’autofinancement (CAF)

Pour être précis, nous parlerons de “capacité d'autofinancement” (CAF).

La capacité de financement représente la capacité d'une entreprise à financer ses investissements, rembourser ses dettes, épargner et rémunérer ses actionnaires. Elle correspond aux ressources internes générées par l'activité de l'entreprise et qu'elle peut utiliser.

Cet indicateur revêt une grande importance pour les investisseurs et les banques.

En résumé, il s'agit du surplus de trésorerie potentiellement disponible grâce à l'activité de l'entreprise. Pour la calculer, on soustrait les charges décaissables des produits encaissables.

CAF = produits encaissables - charges décaissables

Les défis de l’autofinancement

Toutefois, l'autofinancement présente également certains défis :

  • Il peut être difficile pour une jeune entreprise de générer suffisamment de bénéfices pour financer ses activités.

  • De plus, si une entreprise investit trop de ressources dans son autofinancement, elle peut se retrouver avec des liquidités limitées pour couvrir ses autres besoins opérationnels.

Par conséquent, il est important pour une entreprise de trouver le bon équilibre entre l'autofinancement et la recherche de financements externes, tels que des prêts bancaires ou des investissements en capital.

En résumé, l'autofinancement est un mécanisme essentiel pour le développement et la croissance


La love money

Ce terme anglais (« argent de l’amour » en français) fait parti du jargon entrepreneurial.

Le concept de love money, que l’on appelle aussi 3F (Friends, Family et Fools), est né outre-Atlantique dans les années 1960.

Il désigne le montant résultant de l’investissement des proches (amis, famille, proches, etc.) au projet d’un entrepreneur.

En France, pour les donateurs, des avantages fiscaux sont en vue car le législateur a prévu de récompenser les dons par des réductions fiscales quand ces derniers sont dirigés vers les PME non cotées en Bourse.

Pour information : chaque parent peut donner jusqu’à 100 000€ par enfant sans avoir de droit de donation à payer.

Pour aller plus loin sur la love money : “C'est quoi la love money ?


Les aides publiques

Les aides publiques sont une source de financement pour une entreprise car elles permettent de bénéficier de soutiens financiers sous différentes formes, comme des subventions, des prêts, des garanties, des allégements fiscaux, des fonds de soutien ou des avances remboursables.

Ces aides peuvent être accordées par l’État, les collectivités territoriales, l’Union européenne ou des organismes publics ou parapublics.

Elles visent à encourager la création d'une nouvelle entreprise, le développement, l’innovation, l’investissement, l’emploi ou la transition écologique des entreprises.

Pour trouver les aides publiques dont vous pouvez bénéficier, vous pouvez consulter le site aides-entreprises.fr, qui recense plus de 2000 dispositifs selon votre localisation, votre besoin et votre profil.

Vous pouvez également consulter le site entreprendre.service-public.fr, qui présente les principales aides publiques aux entreprises.

Pour aller plus loin sur le sujet : “Toutes les aides publiques pour les entreprises


Les prêts d'honneur

Afin de soutenir et financer la création d’entreprise, les réseaux nationaux Initiative France et Réseau Entreprendre mettent à la disposition des dirigeants d’entreprise un prêt d’honneur.

Prérequis : disposer d’un solide plan d’affaires.

Quel est le montant du prêt d’honneur ?

  • Avec le réseau France Initiative, le montant moyen des prêts d’honneur accordés s’élève à 9 700€.

  • Avec le réseau Entreprendre, le montant varie entre 15 000 et 50 000€. Note : le montant moyen des prêts d’honneur accordés s’élève à 29 000€.



Le crowdfunding

Née au début des années 2000, le crowdfunding ou « financement participatif » est une solution de financement alternatif.

Cette solution de financement qui sort des circuits traditionnels, notamment bancaires, fait appel aux ressources financières de ses différents cercles (amis, proches, famille, relation professionnelle, et de manière encore plus large les internautes).

Si vous souhaitez vous lancer dans le crowdfunding, cet article à lire : “Comment réussir sa campagne de crowdfunding ?

Le crowdfunding revêt plusieurs formes :

  • Le don sans contrepartie.

  • Le don avec une contrepartie : un t-shirt personnalisé aux couleurs de l’entreprise, une tasse, un événement en privé avec les fondateurs, etc.

  • Une pré-vente du produit ou du service pour lequel la campagne de crowdfunding a été lancée.

  • Le prêt, gratuit ou rémunéré.

  • L’investissement via la souscription de titres de capital ou de créances. En retour est proposé la participation aux éventuels bénéfices du projet.

  • En royalties.

Crowdfunding : attention au choix de la plateforme

Avec l’essor du financement participatif, l’offre de plateforme de crowdfunding s’est elle aussi développée.

Il existe ainsi aujourd’hui une multitude de plateforme, spécialisées sur différents secteurs, avec certaines règles de fonctionnement spécifiques.

Donc avant de vous lancer dans votre campagne, prenez le temps de bien comparer les conditions générales d’utilisation.

Quelques plateformes de crowdfunding : Tudigo, ulule, KissKissBankBank, Kickstarter, Indiegogo, Ulule, KissKissBankBank, Gofundme, Leetchi, Miimosa, Lita, Wiseed, Anaxago.

Pour aller plus loin sur le sujet des plateformes de crowdfunding : “Comparatif des plateformes de crowdfunding


Les investisseurs privés

Quand on parle d’investisseurs, vous allez le voir, les choix sont multiples et variés. Entre s’adresser à un business angel, un fond ‘investissement (VC) ou encore un family office, les démarches bien que très proches ne sont pas identiques.

Et les conséquences pour sa boîte ne sont pas les mêmes non plus.

Car les attentes de ces trois familles d’investisseurs sans être à l’opposé sont assez dissemblables.


• Les business angels

Un business angel, “ange d’affaires” en français, ou encore “investisseur providentiel” est une personne physique qui vient investir dans une ou plusieurs jeunes entreprises qui lui sont proposées.

L’objectif principal du business angel sera la rentabilité de l’investissement. Ainsi, en général, le business angel se rémunère en revendant sa participation (en moyenne inférieure à 20% du capital) dans un délai de 3 à 5 ans.

Son profil est en général :

  • Un ancien chef d’entreprise ou un cadre supérieur ayant cumulé un certain patrimoine.

  • Un ex-entrepreneur ayant revendu son entreprise.

  • Un entrepreneur (qui peut avoir revendu une précédente entreprise).

  • Le membre d’un family Office.

Note : le business angel ne propose pas qu’une aide financière mais met aussi à disposition son expérience, son réseau, une partie de son temps, et, si besoin, de l’accompagnement.

De plus, par sa crédibilité, il peut permettre au leveur d’obtenir d’autres financements (en général bancaires).

Pour aller plus loin sur le sujet : “Business Angels : quels sont les avantages et inconvénients ?

Quel est le montant accordé pour un business angel ?

Il varie, selon le profil du business angel, entre 5 000 et 500 000€.

Pour prendre contact avec un business angel, vous pouvez vous appuyer sur quelques associations les référençant :

  • WeLikeAngels - Se décrivant comme la 1ère association de Business Angels en France : https://investessor.fr

  • Euroquity - Service de mise en relation entre les sociétés et les investisseurs : https://euroquity.com/fr/home



Les fonds d'investissement (VC)

Le fonds d’investissement (ou OPCVM), selon la définition officielle, est un organisme de placement collectif.

Il en existe de nombreuses sortes : les SICAV, les FCP, les Hedge Funds, les SCPI, le FCPR, etc. Mais pour notre recherche de source de financement, nous allons nous intéresser au fonds de private equity.

Les FCPR (Fonds Commun de Placement à Risques)

Les FCPR ou fonds de private equity sont des fonds qui investissent dans des sociétés non cotées, des ETI (Entreprise de Taille Intermédiaire) et des PME (Petite et Moyenne Entreprise) mais aussi, pour certains fonds, dans des startups.

Pour connaître la liste des fonds d’investissement dédiés aux startups, c’est ici : liste des fonds d’investissement de capital risque.

Pour réussir votre levée de fonds auprès de ce type de structures, voir notre article dédié à la question : “7 astuces pour réussir sa levée de fonds

Pour aller plus loin sur le sujet :

Les Family Office

Un family office est une structure dédiée à la gestion de patrimoine et aux services financiers personnalisés pour les familles fortunées. C'est une entité privée qui offre une gamme de services allant de la gestion d'actifs à la planification successorale en passant par la gestion fiscale.

L'objectif principal d'un family office est de protéger, de développer et de transmettre le patrimoine d'une famille sur plusieurs générations. Il agit en tant que conseiller et exécuteur des décisions financières pour la famille, tout en tenant compte de ses besoins spécifiques, de ses objectifs et de son appétit pour le risque.

En résumé, un family office offre un service global et sur-mesure aux familles fortunées, afin de les aider à gérer, développer et transmettre leur patrimoine de manière efficiente et sécurisée. Il permet une gestion professionnelle des actifs financiers et laisse la famille se concentrer sur ses priorités et ses objectifs à long terme.

En quoi un family office est intéressant dans le cadre d’une levée de fonds ?

Un family office peut être extrêmement intéressant dans le cadre d'une levée de fonds pour plusieurs raisons. Tout d'abord, un family office est une structure dédiée à la gestion du patrimoine et des affaires familiales, qui fournit des services financiers spécialisés aux familles fortunées. Ces structures sont souvent bien établies et ont une expertise approfondie dans le domaine de l'investissement et de la gestion de patrimoine.

Lorsqu'il s'agit de lever des fonds, un family office peut apporter plusieurs avantages. Tout d'abord, ils ont souvent accès à des réseaux étendus de contacts, y compris des investisseurs privés, des fonds de capital-risque et des institutions financières. Cela signifie qu'ils peuvent aider à identifier et à attirer rapidement des investisseurs potentiels, accélérant ainsi le processus de levée de fonds.

De plus, les family offices peuvent fournir une expertise précieuse en matière de structuration financière et de négociation. Ils sont généralement bien informés sur les différentes options de financement disponibles, ainsi que sur les stratégies de négociation optimales pour obtenir les meilleurs termes pour l'entreprise en levée de fonds. Leur expérience dans la gestion de patrimoine peut également les aider à évaluer les risques et les opportunités associés à l'investissement dans une entreprise spécifique.

En outre, les family offices peuvent offrir un soutien continu après la levée de fonds. En tant que partenaires à long terme, ils peuvent fournir des conseils et une orientation supplémentaires pour aider l'entreprise à atteindre ses objectifs de croissance. Ils peuvent également offrir des services de gestion de patrimoine, tels que la planification fiscale et successorale, qui peuvent être essentiels pour les entreprises et les familles fortunées.

En conclusion, un family office peut être très utile dans le cadre d'une levée de fonds en raison de son accès à des réseaux de contacts, de son expertise en matière de structuration financière et de négociation, ainsi que de son soutien continu après la levée de fonds.


Les prêts interentreprises

Et si une entreprise pouvait jouer le rôle de banque auprès d’une autre entreprise ?

Depuis la loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques (ou loi Macron du temps où il était ministre de l’économie), une entreprise peut être débitrice ou créditrice auprès d’une autre entreprise.

Désormais les SAS (société par actions simplifiées) et les SARL (société à responsabilité limitée) peuvent prêter de l’argent à des microentreprises, PME ou ETI (entreprise de taille intermédiaire).

Quelles sont les conditions d’un prêt interentreprise ?

  • Le prêt ne doit pas excéder une durée de deux ans.

  • Le prêt doit être une activité accessoire de l’activité principale.

  • Un contrat de prêt devra encadrer les sommes prêtées.

  • L’entreprise prêteuse et celle bénéficiaire doivent pouvoir justifier d’un lien économique (sous-traitance directe ou indirecte, même groupement d’intérêt économique, même association bénéficiaire d’un marché public…)

Quelles sont les obligations de la société prêteuse ?

  • Avoir une trésorerie nette positive.

  • Avoir des capitaux propres supérieurs au capital social et un excédent brut d'exploitation positif.


Les concours

Pas franchement apprécié par l’auteur de ces lignes (comme vous pourrez le découvrir ici : “7 erreurs à ne pas commettre en tant qu'entrepreneur“), les concours, ou plutôt certains d’entre eux, permettent quand ils sont remportés de bénéficier de dotations financières.

Autres avantages, et pas des moindres, les concours peuvent vous apporter aussi visibilité, crédibilité et parfois, selon les dotations, des avantages en logistique, networking ou encore d’accompagnement.


Les prêts bancaires

1. Le crédit bancaire

Même si cette forme est très répandue, le crédit bancaire pour entreprise n’est pas pour autant la plus accessible.

En gros, il existe quatre types de crédit que peut vous accorder votre banque :

  • Le crédit à très court terme qui s’apparente davantage à une “facilité”. Son échéance excède rarement 6 mois. Dans cette classe de crédit, l’on peut y trouver le découvert autorisé, les facilités de caisse, les avances de trésoreries, la ligne de crédit, le prêt relais, etc.

  • Le crédit à court terme d’une durée de 3 ans maximum.

  • Le crédit à moyen terme d’une durée comprise entre 3 et 7 ans.

  • Le crédit à long terme souscrit à plus de 7 ans.

Pour aller plus loin sur ce sujet : “Comment négocier votre prêt professionnel ?


2. Le microcrédit

Le microcrédit est l’octroi d’une aide financière, sous la forme d’un crédit, aux entrepreneurs ou à des artisans qui ne peuvent prétendre aux prêts bancaires classiques.

Les conditions pour obtenir un microcrédit professionnel :

  • L’entreprise doit être en cours de création, avoir moins de 5 ans d’existence et l’activité s’exerçant en France.

  • L’entrepreneur qui le sollicite doit s’être vu refusé un crédit bancaire.

  • Le besoin de financement ne doit pas excéder 10 000€.

  • Le demandeur doit avoir un garant qui se porte à hauteur de 50% du microcrédit accordé.

Note : il faut distinguer le microcrédit personnel ayant pour objectif l’insertion sociale ou professionnelle du demandeur du microcrédit professionnel en rapport avec l’acquisition ou la création d’une entreprise.

Autres choses à savoir sur le microcrédit professionnel :

Il s’agit d’un prêt avec des intérêts. En général, inférieur ou égal à 5%. Note : le prêt peut être remboursé par anticipation.

Quel est le montant accordé pour un microcrédit ?

Les sommes sont généralement comprises entre 300€ et 5 000€.

Association habilitée par le Code monétaire et financier à distribuer des microcrédits

http://www.crea-sol.fr/qui-sommes-nous


Le RBF ou Revenue Based Financing

C'est quoi le Revenue Based Financing ?

Le Revenue Based Financing (RBF), également connu sous le nom de financement basé sur les revenus, est une forme de financement qui gagne en popularité auprès des startups et des petites entreprises. Il s'agit d'une méthode de financement alternative qui diffère des prêts traditionnels et du capital-risque.

Le RBF fonctionne sur un modèle où les investisseurs fournissent des fonds aux entreprises en échange d'un pourcentage fixe des revenus générés par l'entreprise. Contrairement aux prêts traditionnels, les paiements ne sont généralement pas fixés à des montants mensuels ou trimestriels réguliers. Au lieu de cela, les remboursements sont basés sur un pourcentage des revenus de l'entreprise, ce qui permet aux paiements de fluctuer en fonction de la performance de l'entreprise.

Le RBF offre plusieurs avantages aux entrepreneurs. Tout d'abord, il peut être plus facile à obtenir que d'autres formes de financement car il se concentre sur les revenus de l'entreprise plutôt que sur l'historique de crédit personnel ou les garanties. De plus, le RBF permet aux propriétaires d'entreprises de garder le contrôle de leur entreprise, car les investisseurs n'acquièrent généralement pas de parts de propriété ou de droits de vote.

Cette forme de financement peut également être attractive pour les entrepreneurs qui souhaitent éviter l'endettement excessif ou les pressions liées à l'investissement en capital-risque. Les paiements basés sur les revenus permettent une plus grande flexibilité financière, en particulier pour les entreprises qui ont des revenus cycliques ou saisonniers.

Bien que le RBF offre des avantages, il y a aussi quelques points à prendre en compte. Le coût global du financement peut être plus élevé que les prêts traditionnels, car les investisseurs cherchent à obtenir un retour sur leur investissement plus rapidement. De plus, les entrepreneurs doivent être prêts à partager une partie de leurs revenus avec les investisseurs sur une période prolongée, ce qui peut réduire les bénéfices potentiels.

En résumé, le Revenue Based Financing est une forme de financement alternative qui permet aux entreprises d'obtenir des fonds en échange d'un pourcentage fixe de leurs revenus. Bien qu'il offre des avantages tels que la flexibilité financière et la conservation du contrôle de l'entreprise, il est important de peser les coûts et les avantages avant de choisir cette option de financement.

Pour aller plus loin sur le sujet, ces articles à lire : Le RBF : qu’est-ce que c’est ?, Qui est Silvr : la startup qui révolutionne le financement ?


Conclusion

Dans cet article nous avons constaté la présence de nombreuses sources de financement disponibles pour les entreprises, y compris les prêts bancaires, le financement traditionnel, le crédit d'entreprise, l'emprunt commercial, le financement de projet, le capital-risque, les investisseurs providentiels, le financement en fonds propres, les partenariats d'investissement, le financement de démarrage, les subventions gouvernementales, le financement public, les aides financières, les subventions de recherche et développement, le financement de l'innovation, le crowdfunding, le financement participatif, les plateformes de financement en ligne, l'investissement collectif, le financement communautaire.

Le meilleur type de financement pour une entreprise dépendra de ses besoins spécifiques, de sa situation financière et de sa situation juridique. Il est important de faire des recherches et de comparer les différentes options disponibles avant de prendre une décision.

Voici quelques points supplémentaires à prendre en compte lors du choix d'une source de financement :

  • Le montant d'argent dont vous avez besoin

  • La durée de remboursement

  • Les taux d'intérêt

  • Les conditions de prêt

  • Les garanties requises

  • Les risques associés

Il est également important de consulter un conseiller financier pour obtenir des conseils personnalisés sur le meilleur type de financement pour votre entreprise. Sur ce point, n’hésitez pas à nous consulter afin de vous mettre en relation avec un tel professionnel : je veux être mis en relation avec un conseiller financier.


Pour aller plus loin sur le financement des entreprises


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